Mètre :
Dactylique. La quasi-totalité des vers sont des hexamètres.
v. 4 : heptamètre.
v. 70 : heptamètre.
v. 243 : Dans son manuscrit, Baïf avait probablement signalé par un micron
la correption de
Diö en hiatus devant
voyelle initiale. Pour l'imprimeur, cet ajout n'était techniquement pas
possible.
v. 295 :
lui en hiatus subit une correption dont on
s'attendrait à ce qu'elle soit signalée par un micron.
v. 296 : Même remarque pour
TOÈ en hiatus.
v. 370 : Même remarque pour
selui en hiatus.
Variantes et remarques : v. 46 :
vìåéndront. Le second
n est suscrit.
v. 61 :
dedans.
L'
n est suscrit.
v. 127 : on a l'impression de lire
dépuis.
v. 142 :
diférans. L'
n est
suscrit.
v. 164 : on a, avec ce vers, le premier accent apparemment aigu du
recueil. Au vu de leur caractère exceptionnel dans les
Étrénes, on peut se demander si les quelques
accents aigus rencontrés traduisent une intention réelle de Baïf ou ne
sont pas plutôt des coquilles. Dans le cas présent, on s'attendrait
à trouver
aã.
v. 167 : coquille :
Jupiter.
v. 191 : autre occurence inattendue et, apparemment, illogique d'un
accent aigu. C'est
oã qu'on attend.
v. 202 :
anamont. Le second
n est
suscrit.
portant. L'
n est suscrit.
v. 268 :
sûions. L'
n est suscrit.
v. 272 :
bons. L'
n est suscrit.
v. 275 : coquille :
øzéôs.
v. 284 :
dezirant. L'
n est suscrit.
v. 356 : coquille :
lé petit (la seconde fois).