Mètre :
Ce vers est analysé comme un trimètre dactylique éolique. Après deux syllabes libres, on y trouve en effet
deux dactyles substituables par des spondées, et un troisième dactyle dont la dernière position est théoriquement indifférente (anceps) mais, en pratique, longue.
Aux vv. 2, 4, 5, 18, 19 21, 42 et 43, une syllabe féminine occupe une position longue. Au v. 11, la correption de
mø devant
voyelle initiale n'est pas signalée par un micron.
Aux vv. 20, 34 et 38, la dernière syllabe est féminine.