De la conjugęzon dę’ Vęrbes.
C̨hap. VI.
La lange Franc̨oęz’ a qatre diuęrses conjugęzons de Vęrbes, diuęrsifiées selon la diuęrsité dęs infinitifs. Dę’ qęlles l’une, ę qe nou’ tenons pour la premiere, a sa tęrminęzon ęn er, par e clos, brięf : come ęymer, fraper, doner.
La seconde, l’a ęn oęr, par la diphthong’ oę, selon la prononc̨íac̨íon : laqęlle toutefoęs l’inconsiderac̨íon dęs ecriueins, aueuglée d’une comun’ obsęruanc̨e, c̨hanj’ ęn son ecrittur’ a la dipthonge oy : come si on prononc̨oęt oy, ęn voer, pouuoęr, tout einsi q’ęn royal, moins, coin, point, soin : ę aotres ęn gran’ [p. 75r] nombre.
La tiers’ a pour sa tęrminęzon infinitiue, re, brief : come dire, fę́re battre, conoętre.
Reste la qatrieme ęn ír : come fuír, jouír, gaodír : ęn laqęlle qelqe voyęlle qi prec̨ede, l’í ne fęt jamę́s diphthonge : de sorte q’oír, fuír, puír, ę tous sęmblables qi sęmblet ętre monosyllabes, sont dissyllabes.