Du nombre dę’ Vęrbes.
C̨hap. VIII.
Lę’ vęrbes n’ont qe deu’ nombres tout einsi qe lę’ noms, qi sont le singulier : come je, ly, ę le plurier, come nou’ lizons. Ę combien qe nous ayons aocuns de no’ noms, dę’ qels le plurier n’a point de tęrminęzon aotre qe c̨ęlle du singulier : come propos, lę’ vęrbęs toutefoęs n’on’ point le sęmblable : si c̨e n’ęt qant le singulier se tęrmin’ ęn oęt (qe vous ecriuęz par oit) car lors la tierse pęrsone du singulier, ęt toute tęlle qe c̨ęlle du plurier : exc̨ępté qe l’ę ouuęrt de la diphthonge, oę, ęt long ao plurier ęn la prononc̨íac̨íon (qe vous ecriuez par oien) come Pięrre dizoęt, c̨e mę́mes qe lę’ aotres dizoę́t. Ao demourant je vous ey ja dit qe nous vzons le plussouuęnt de la seconde pluriere, pour la singuliere.