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Légende

GARGarde-nous, souverain Seigneur.DE-NÙS, Sùveréin Siñör.

AnEntre nous ne se trouve plustre nùs ne se tröve plus

NuNul qui s'applique à faire bien.l kìÁ s'aplik' a fèreã bién.

AnEntre les hommes il n'y atre lèz omez il n'i a

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NuNulle foi ne loyauté.lle fø ne loæiôté.

ParParmi eux toute fausseté :mi ös tùte fôsseté :

ÔAu devis qu'ils iront tenirá devis k'il iront tenir

IlIls flagornent à leur prochain. flagôrnet aã lö proçéin.

MèMais la lèvre flatte un propos,s la lèvre flat' un propôs,

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KaQuand le coeur se double ailleurs.nd le kör se dùÂbl' a££örs.

KèlQuelque jour le Seigneur tout bonke jùr le Siñör tùbon

ÔtÔtera toute lèvre, d'oùera tùte lèÌvre, dù

RiRien ne sort que propos flatteurs.én ne sôrt ke propôÎs flatö^s.

ÔtÔtera cette langue fausseera séte lange fôss'

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ArArrogante à se vanter.rogant' aã se vantér.

KanQuand ils disent à chaque mot :d i dìîzet a ça^ke môtã :

NNotre langue le gagnera.ôÎtre lange le ganñera.

PùPour gagner nous avons toujoursr ganñér nùÂz avons tùjùrs

LaLangue et bec à commandement.ng' é bèk aã komandemant.

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KiQui est maître dessur nous ? è^t mè^tre desur nùs ?

ÔáAu rebours le Seigneur a dit. rebùrs le Siñör a dit.

PùPour la souffrète des foulés,r la sùfréte dès fùlés,

SuSur la plainte des affligés,r la pléinte dez aflijés,

MéMaintenant je me vais leverintenant je me va^ levér

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ÔAu secours du travaillé.á sekùrs du trava££é.

A dÀ délivre mettrai, celuiélivre métrè, selui

KoContre qui le méchant avaitntre kìþ le méçant avøt

TrTraîtrement le filet lacé :éitremant le filèt lasé :

RéRespirer le ferai de malspirér le ferè de mal

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SéSain et sauve le gardant.in é sôÎve le gardant.

La La promesse de Dieu reluit,promèsse de Diö reluit,

PPure plus que le pur métal,uýre plus ke le pur méta£,

NèNet, recuit et recuit souvent,tã, rekuit é rekuit sùvant,

KaQuand après la septième foisnd après la sétiéme føsã

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OnOn le tire du creuset. le tìþre du krözètã.

DonDonc ô gracieux Seigneur,kez ôÎ grasiöæs Siñör,

VöVeuille les mettre à sauveté.£e lè_ méÂtr' a sôveté.

GaGarde chacun à tout jamaisrde ça^kun aã tùt jamès

KoContre tel malheureux harasntre tèl malurös haras

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PlPlein de fraude et de trahison.éin de frôÎd' é de tréizon.

On On ne voit que méchants courirne vøtã ke méçans kùrir

PaPar tout enntrepreneurs de mal.r tùt antreprenörs de mal.

KaQuand tous les pires élevésnd tùlè_ pìÁrez éÿlevés

VoVont tenant le degré d'honneur,nt tenant le degré d'onör,

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TùTout l'honneur s'anéantit.t l'onör s'anéaæntìît.

Mètre : Antispastique. Strophe de cinq vers appelés glyconiens dont le dernier est cadencé.
Les vv. 18 et 20 comprennent des substitutions qui ne figurent pas expressément dans le schéma donné par Baïf dans le psautier A, mais ces deux vers restent compatibles avec le schéma « large » du ps. 41, dont les deux premières positions sont données comme indifférentes.