Mètre :
Baïf (psautier A) analyse ce vers tout d'abord comme des trochaïques mêlés par kontrariété, appellation qu'il biffe
pour la remplacer par celle d'antispastiques. Il s'agit de tétramètres cadencés. On n'y trouve pas l'antispaste
sous sa forme pure : plus que l'alternance iambe-trochée, c'est ici l'alternance double trochée-double iambe qui
est considérée comme antispastique.
Au v.13, dans le mot
fìË', l'accent aigu, en lieu et place du circonflexe qu'on attendrait,
indique probablement que cette syllabe doit ici être considérée comme brève dans le contexte de l'hiatus.
Variantes et remarques : v. 9 : Pâté après
Lè.
tù le est réuni par une marque de liaison.