Mètre :
On pourrait analyser les deux vers du rechant comme un asynartète composé d'un penthémimère dactylique et d'un dimètre iambique (forme
catalectique de l'élégiambique),
suivi d'un « vrai » pentamètre dactylique (ne comportant pas la rupture rythmique du pentamètre élégiaque).
La strophe comporte un tétramètre dactylique et un dimètre iambique cadencé.