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métriqueLégende

XXXX.

ÇANT .I.
TETe connaître m'est si grand heur,À KOÂNúÏTRE m'èÏt sìÁ graÿnt öÿr,
Ô belle tant gracieuse,ÔÏ béÂle taÿnt graÂsìÁöÿzeÂ,
KQue pour vie avouer ne puiseÀ pùÿr vÍÏ aÂvùÂéÿr ne puìýs
SCe que j'ai vécu sans te voir.eÀ ke j'èà vèÏku saÿn_ te vøýr. <·
REÇANT.
5
DeDe te voir ne puis me soûler ; ni me lasserÀ te vøýr ne puìýs me sùÏléÿr ; nìÁ me laÿsséÿr ·><·
2.
TélTelle Dieu créa ta beauté,e Diö kréaæ ta beôté,
TaTant unique en toute chose,nt uÂnìÁk' an tùte çôÎze,
DeDe la chosette moindre qu'as, laÿ çôzéte mûindre k'as,
MiMille beautés se parferaient.le beôtés se parferøÎt. <·
3.
10
É pEt par ainsi j'estimai-tantaréinsi j'éstimè-tant
DèDès que te vis te connaître,s ke te vìþ te konøÎtre,
KeQue pour vie avouer ne puis, pùr vìî avùér ne puis,
SeCe que j'ai vécu sans te voir. ke j'èã vè^ku san te vør. ·><· <·
Mètre : Le rechant se compose d'un trimètre ionique du mineur rebrisé. Pour la strophe, on a successivement un anacréontique, un trimètre dactylique (fait très rare, Baïf place une syllabe féminine en fin de vers : en théorie, la dernière syllabe est indifférente), un dimètre antispastique et un dimètre ionique du mineur.