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métriqueLégende

SÉÔME .CXVIII.

LE Le Seigneur louez, qu'il est bon. Sa clémence dure à jamais.SIÑÖR lùés, k'il è^_ bon. Sa klémanse duÂr' ajamès.
OreOres Israël tout haut die, sa clémence dure à jamais.z Israèl tùhôÎt dìî, Sa klémanse dur' ajamès.
OreOre die la race d'Aaron, sa clémence dure à jamais. dìî la rasse d'A^ron, Sa klémanse dur' ajamès.
OreOre die qui craint le Seigneur, sa clémence dure à jamais. dìî ki kréint le Séiñör, Sa klémanse dur' ajamès.
5
PrèPressé je crie le Seigneur : m'écoute, au large il me met.ssé je krìî le Séiñör : m'ékùt', ôá larj' i me mètã.
Le Le Seigneur il est d'avec moi, je ne crains. Et que me feraSiñör il è^t davèk mø, je ne kréiñ. É ke me fera
L'oL'homme vain ? étant du tout mien le Seigneur m'amène secours.me véin ? Étant du tùt mién le Siñör m'améne sekùrs.
De De mes ennemis je verrai telle fin comme je la veux.mez annemis je vèrrè téle fin kome je la vö.
MiMieux vaut espérer en Dieu, que dépendre d'homme vivant :öÎ_ vôÎt éspérér an Diö, ke dépandre d'ome vivant :
10
MiMieux vaut espérer en Dieu qu'aux princes mettre sa foi.öÎ_ vôÎt éspérér an Diö k'ôá_ PrinsesÄ métre sa fø.
KanQuand tous pays me viendraient enclore de toutes parts,t tùs paìås me viéndrøÎt anklôre de tùtesÄ pars,
[f° 93 r°]
ÔáAu nom de Dieu je pourrais les abattre et défaire tous. nom de Diö je pù^rø lez abaÿtr' é défére tùs.
TùtTout alentour entouré m'ont, oui, m'ont environné :alantùr antùré m'ont, ùÍÜ, m'ont anvironé :
ÔáAu nom de Dieu m'assurai les abattre et défaire tous. nom de Diö m'asörè lez abaÿtr' é défére tùs.
15
I mIls m'avaient tout partout enclos comme abeilles : et tout soudain'avøÎt tùpartùt anklôs kom' abè£es : é tùsùdéin
KomComme feu d'épines, ainsi tout soudain ils furent éteints.e fö d'épìþnez, éinsin tùsùdéin i furet étéins.
ÔáAu nom de Dieu m'assurai les abattre et défaire tous. nom de Diö m'asörè lez abaÿtr' é défére tùs.
Me Me choquant cuidas me tomber : le Seigneur me donne secours :çokant kudas me tunbér : le Siñör me done sekùrs :
É mEt ma force et c'est ma chanson le Seigneur : le salut il m'est.a fôrs' é s'è^t ma çanson le Siñör : le salut i m'è^t.
20
De De salut la voix, et les cris d'allegresse résonnerontsalut la vøsã, é lè_ kris d'alégrésse rézoneront
ParPar les demeures des bons. Que la dextre du souverain lès demöresÄ dè_Bons. Ke la dè^tre du Sùveréin
A A oeuvré de grande vertu ! Cette dextre s'élève haut :ùÀvré de grande vèrtu ! séte dè^tre s'éléve hôÎt :
Du Du Seigneur la dextre puissant s'élevant prouesses a fait.Siñör la dè^tre puissant s'élevant prùésez a fètã.
Je Je vivrai, ni jà ne mourrai que ne chante ce qu'il a faitvivrèã, nìÁ jaÿ ne mùrrè ke ne çante se k'il a fèt
25
Le Le Seigneur. Le juste Seigneur me reprend, ne me livre à mort.Siñör . Le juste Séiñör me reprand, ne me lìÁvr' aã môrt.
D'D'équité la porte ouvrez moi, que j'y entre, et que du Seigneurékité la pôrt' ùvréÿ_mø, ke j'i antr', é ke du Siñör
La La louange y puisse chanter. Cette porte est au Seigneur :lùanj' i puisse çantér . Séte pôrt' è^t oã Siñör :
Lè_Les justes entreront tous par icelle. Je te dirai justez antreront tùs par isèle . je te dirè
Ta Ta louange, car tu m'entends et réponds : et me secourus.lùanje, kar tu m'antans é répons : é me sekùrus.
30
Celle pierre qu'ont méprisée les ouvriers qui édifiaient,le pièrre k'ont méprìþzé^ lez ùÂvriérs ki édifiøÎt,
SurSur l'encoignure posée comme principale se fait. l'ankoñu^re pôzé^ kome prinsipaÂle se fètã.
É kEt qui fit cela ce fut Dieu : nos yeux s'en ébahissaient.i fit sela se fut Diö : Nôz iös s'an ébaìåsøÎt.
VeVeleci le jour que Dieu fit : célébrons-l', et nous égayons,lesìþ le jùr ke Diö fit : sélébron-l', é nùÂz égaÂion,
Je Je te prie Seigneur désormais de ta grâce rassure-nous.te prìî Siñör dezôrmès de ta grasse rasure-nùs.
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Je Je te prie Seigneur désormais donne-nous donne le bonheur.te prìî Siñör dezôrmès done-nùs done le bonör.
BenBéni soit celui le quel est venu au nom du Seigneur :ìÁ søtã selui le kèl è^t venu ôá nom du Siñör :
É bEt bénis vous êtes par nous de la maison du Seigneur.énis vùÂz ètesÄ par nùs de la mè^zon du Siñör.
DDieu est Seigneur : et sur nous sa lumière éclairer il fait.ÍÜö è^t Siñör : é sur nùs sa lumiér' éÂklérér i fètã.
PùrPource aux cornes de l'autel de liens l'agneau attachez.s' ôá_ kôrnesÄ de l'ôtèl de lìåéns l'éñôÀ ataçés.
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JusJusqu'aux cornes de l'autel la feuillée faites y lierk'ôá_ kôrnesÄ de l'ôtèl la fé£é^ fétez ìÁ lìåér
A sÀ ce jour qui est solennel, et de festons le parez.e jùr ki è^t solannèl, é de féstons le parés.
MoMon Dieu tu es, et pourtant ta louange célébrerai :n Diö tu ès, é pùrtant ta lùanje sélébrerè :
MoMon Dieu tu es, et pourtant en honneur je t'éléverai.n Diö tu ès, é pùrtant an onör je t'éleverè.
LE Le Seigneur louez, qu'il est bon. Sa clémence dure à jamais.Siñör lùés, k'il è^_ bon . Sa klémanse dur' ajamès. ·><·
Mètre : Tous les vers sont des galliambiques, c'est-à-dire des tétramètres cadencés, ioniques du mineur, rebrisés. La rebrisure se trouve entre les deux premiers pieds. Le dernier temps du troisième pied est presque systématiquement monnayé.