Mètre :
Baïf détaille du début à la fin le schéma de ce poème particulièrement libre. Tous les vers ont quinze
syllabes, avec césure après la huitième. Baïf les analyserait probablement comme des tétramètres cadencés,
en prenant comme référence un mètre de quatre syllabes (comme pour les vers ioniques, choriambiques ou antispastiques
par exemple). Les substitutions sont tellement libres qu'on ne peut guère
être plus précis dans la qualification.
Variantes et remarques : v. 6 : au-dessus de
éÿ
moÿn jùÿr, un micron semble avoir été corrigé en macron.