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métriqueLégende

LVII.

ÔÔ encore cruelle, ô qui te tiens fière dedans le coeur,Ï AÿNKÔýRE kruÂèÿl', ôÏ kìÁ te tìéýns fìéýre deÂdaÿn le köÿr,
[f° 349 v°]
PùrPour les dons de Vénus vains et fluets dont tu t'enorgueillis : lè_dons de Vénus véins é flùèsã dont tu t'anôrgé£is :
KanQuand l'orgueil qui se niche en cette fleur, au renouveau gaillardt l'ôrgö£ kìÁ se nìþç' an séte flör, ôá renùveô ga£ard
Dè_Des beautés que tu as, s'envolera tout subit empenné :beôtés ke tu as, s'anvolera tùÿssubit anpané :
5
KanQuand ces beaux éclatants d'or délié, tant désirés lienst sè_beôs éklatans d'ôr délié, tant dezirés lìåéns
SurSur ton dos voletant, et qui jouant pendent éparpillés, ton dôs voletans, éÿ ki jùans pandet éparpi£és,
ArjArgentés et chenus déracinés tomber iront, alorsantés é çenus dérasinés tunbér iront, Alôrs
TonTon teint frais, qui efface ore le vermeil de la rose éteint, téin_ frès, ki éfass' ôre le vèrmè£ de la rôÎz' étéint,
Un Un visage ridé laid et hideux morne te laissera :vizaje ridé lèd é hidös môrne te lèssera :
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LasLas ! Alors te voyant autre du tout dans le miroir haï, ! alôrs te voiant ôÎtre dutùt dan le mirør haìå,
LasLas ! Alors te mirant en ce regret tu te repentiras. ! alôrs te mirant an se regrètã tu te repantiras.
MèsMais quand jeune j'étais lors que n'avais-j'un si bouillant désir, kant jöne j'étø lôrs ke n'avø-j' un si bù£ant dezir,
ÙÿOu pour quoi ne retourne en ce désir celle vigueur d'alors ? pùr kø ne retùrn' an se dezir sèle vigör d'alôrs ?
LasLas ! Qu'on perd follement chose qu'après on ne recouvre plus. ! K'on pèrd folemant çôÎze k'après on ne rekùvre plus.
Mètre : Tous les vers sont des tétramètres antispastiques.