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Légende

LÈLes neuf soeurs le cruel amourý_NÖÿ_ SÖÿRS le kruÂèÿl AÂmùÿr

N'N'ont peureuses en horreur :oÿnt pùÂröÏzeÂz aÂn ôýrröÿr :

MèMais de coeur et d'affectionýs de köÿr é d'aÂféÿksìÁoÿn

L'L'accompagnent tout partout.aÂkoÿnpaÿñeÂt tùÂpaÿrtùÿt. <·

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SìSi quelqu'un non atteint d'amourý kékun non atéint d'amùr

FèFait emprise de chanter,tã anprìîze de çantér,

Lè_Les neuf muses ne l'ont à-coeurnö_ mu^zes ne l'ont a-kör

PùPour l'apprendre et lui montrer.r l'aprandr' é lìÁ montrér. <·

MèsMais si l'esprit époint d'amour si l'ésprit épûint d'amùr

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PùPourpensait une chanson,rpansøt une çanson,

ÈleElles viennent à lui soudain,s viénet a lui sùdéin,

É Et l'instruisent à l'envi.l'instruizet alanvi. <·

BonBon témoin de ceci je suis, témûiñ de sesìþ je suis,

É Et l'atteste devant tousl'atéste davant tùs

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Si Si chanter de l'amour je viensçantér de l'amùr je vién

Ù Ou louer quelque beauté.lùér kéke beôté. <·

J'èJ'ai la voix à commandement, la vøsã a komandemant,

DeDe ma bouche une chanson ma bùÿç' uÂne çanson

Va Va plus douce que miel coulant :plu_ dù^se ke miél kùlant :

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LôLors je gringote à plaisir.rs je gringot' a plèzir. <·

Si Si quelque autre sujet qu'amourkèlk' ôÎtre sujèt k'amùr

JeJe me pense proposer, me panse propôzér,

MonMon parler bredouillant se rompt, parlér bredù£ant se ront,

MoMon chant traîne comme envis.n çant tréìÎne kom' anvis. ·><· <·

Mètre : Distiques de dimètres antispastiques dont le second est cadencé.

Variantes et remarques :
v. 4 : sur aÂkoÿnpaÿñeÂt, le macron biffe un accent circonflexe.