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métriqueLégende

XLVI.

TanTant que le jour est long je me plains : si la nuit se répandantt ke le jùÿr è^_ long je me pléiñ : Si la nuit se répandant
SuSur les humains malheureux mène l'oubli du travail,r lez uméins malurös méine l'ùblìþ du trava£,
PléPlein de travaux me trouvant, je ressens mes peines redoubler :in de travôÎs me trùvant, je resan mè_péines redùblér :
LaLarmoyant soupirant, j'use le temps qui se perd.rmûiant sùpirant, j'u^ze le tans ki se pèrt.
5
LasLas ! Mes yeux en triste liqueur se répandent, et mon coeur ! mèz iös an triste likör se répandet, é mon kör
FoFont en deuil ! Je me vois pis que tout autre animal !nt an dö£ ! Je me vø pis ke tùt ôÎtr' animal !
KarCar je me meurs des traits de l'amour dans l'âme traversé, je me mör dè_trèsã de l'amùr dan l'a^me travèrsé,
LoLoin de repos et de paix, loin de tout aise banni.éiñ de repôsã é de pèsã, lûiñ de tùt è^ze banìþ.
PluPlus l'erreur d'autrui je déplore et lamente que mon mal :s l'èrrör d'ôtrui je déplôr' é lamante ke mon mal :
10
PaPar qui ressemble ma vie mieux qu'à la vie à la mort.r ki resanble ma vìî miös k'a la vìî a la môrt.
MèsMais, ce qui plus me déplaît, une pourrait seule me sauver,, se ki plus me déplè^t, uÂne pùÿrøtã söle me sôÎvér,
KiQui gracieuse me voit en feu, et point ne l'éteint. grasiöze me vøtã an föÂ, é pûin_ ne l'étéint.
Un Un seul doux confort me demeure, qui trompe tout ennui,söl dùs konfôrt me demöre, kìÁ tronpe tùt annui,
K'Qu'il vaut mieux se douloir d'elle, que d'autre jouiril vôÎt miös se dùlør d'èle, ke d'ôÎtre jùìår ·><·
Mètre : Dactylique. Distiques élégiaques.