retour
virga
avance
DICTIONNAIRE
rubriqueJean-Antoine de Baïf
rubriqueAvertissement
rubriqueIntroduction
rubriquePsautier 1573
rubriqueEtrénes 1574
rubriqueChansonnettes
rubriqueLivre I
rubriqueLivre II
rubriqueLivre III
rubriqueChanson 1
rubriqueChanson 2
rubriqueChanson 3
rubriqueChanson 4
rubriqueChanson 5
rubriqueChanson 6
rubriqueChanson 7
rubriqueChanson 8
rubriqueChanson 9
rubriqueChanson 10
rubriqueChanson 11
rubriqueChanson 12
rubriqueChanson 13
rubriqueChanson 14
rubriqueChanson 15
rubriqueChanson 16
rubriqueChanson 17
rubriqueChanson 18
rubriqueChanson 19
rubriqueChanson 20
rubriqueChanson 21
rubriqueChanson 22
rubriqueChanson 23
rubriqueChanson 24
rubriqueChanson 25
rubriqueChanson 26
rubriqueChanson 27
rubriqueChanson 28
rubriqueChanson 29
rubriqueChanson 30
rubriqueChanson 31
rubriqueChanson 32
rubriqueChanson 33
rubriqueChanson 34
rubriqueChanson 35
rubriqueChanson 36
rubriqueChanson 37
rubriqueChanson 38
rubriqueChanson 39
rubriqueChanson 40
rubriqueChanson 41
rubriqueChanson 42
rubriqueChanson 43
rubriqueChanson 44
rubriqueChanson 45
rubriqueChanson 46
rubriqueChanson 47
rubriqueChanson 48
rubriqueChanson 49
rubriqueChanson 50
rubriqueChanson 51
rubriqueChanson 52
rubriqueChanson 53
rubriqueChanson 54
rubriqueChanson 55
retour
rubriqueChanson 56
rubriqueChanson 57
rubriqueChanson 58
rubriqueChanson 59
rubriqueChanson 60
rubriqueChanson 61
rubriqueChanson 62
rubriqueChanson 63
rubriqueChanson 64
rubriquePsautier 1569
rubriqueMusique
rubriqueGlossaire métrique
 
Pour une translittération en orthographe standard, survolez l'initiale des vers !
pdfFichier pdf
métriqueAfficher métrique
métriqueLégende

LV.

Fausse, rebelle, légère, qui hais comme mort toute amitié :Îsse, rebè^le, lejiére, ki hèsã kome môrt tùt' amitié :
SSi de ta grâce jamais quelque faveur je reçus,ìý de ta grasse jamès kèlke favör je resu,
ViéViens, et reproche-la-moi. Quelle autre faveur de t'aimer tantn, é reprôçe-la-mø . Kèl' ôÎtre favör de t'émér tant
ÈAi-je reçue, que couverte ou découverte rigueur ?Ê-je resu^e, ke kùvèrt' ùÿ dékùvèrte rigör ?
5
K'Qu'ai-je, depuis le moment que te choisis dame de mon coeur,èÊ-je, depuis le momant ke te çøÎzìþ Daÿme de mon kör,
K'Qu'ai-je, sinon cherché t'être fidèle et loyal ?è-je, sinon çèrçé t'è^tre fidèl' é loial ?
K'Qu'as tu, si non montré toute fière ou maligne volonté,aÎ_tu, si non montré tùte fiér' ùÂ malìþne vùlonté,
KaQuand me voyais souffrir martyre pour ton amour ?nt me voÂiøs sùfrir martire pùr ton amùr ?
MèsMais, j'en aurai vengeance et guérison : l'heure n'en est loin :, j'an arè vanjans' é gérìîzon : l'öre n'an è^_ lûiñ :
[f° 371 v°]
10
VoVoici la mort qui me vient venger, et vient me guérir.èsìÁ la môrt kìÁ me viént vanjér, é viént me gérir.
RonRomps, je te prie, de ma vie qui est par trop dure à mon gré,, je te pri, de ma vìîeæ ki è^t par trôp duÂr' a mon gré,
RoRomps de ma vie, ô mort, l'opiniâtre filet.n de ma vìî, ôÎ Môrt, l'ôpinia^tre filètã.
FiéFièvre cruelle, le camp te demeurera : mais tu m'y perdrasre kruèle, le kam te demùrra : mès tu m'i pèrdras
É Et plaindras, ne trouvant plus qui te puisse pâtirpléindras, ne trùvant plus kìÁ te puisse patir ·><·
Mètre : Dactylique. Distiques élégiaques.

Variantes et remarques :
v. 10 : Le dernier mot est rejeté à la ligne.