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métriqueLégende

LI.

J'èJ'ai de qui trop me douloir, et du temps et d'amour et de mon coeur : de ki trôp me dùlør, é du tans é d'amùr é de mon kör :
[f° 370 r°]
Mais de ce mien coeur faut plus que de tous me douloir.sã de se mién kör fôÎt plus ke de tùs me dùlør.
LuiLui qui va outrecuidé se hasarder sans ailes au ciel, ki va ùtrekudé se hazardér sanz élez ôá siél,
AnEntreprenant de voler sur la fumée du désir.treprenant de volér sur la fumé^e du dezir. <·
5
ÉinAinsi trop haut s'élevant le jouvenceau ses ailes perdit,si trohôÎt s'élevant le jùvanseô sèz éles pèrdit,
KaQuand le pennage ciré fondit aux rais du soleil :nt le panaÿje siré fondit oã rès du sùlè£ :
ÉinAinsi le fils de la terre entassa montagnes en vain :si le fis de la tèrr' antassaÿ montaÂñez an véin :
L'L'un du tonnerre abattu, l'autre noyé de la mer.un du tonèrr' abatu, l'ôÎtre noié de la mèr.
ÔÊOh que je pusse trouver quelque mer où ma flamme se noyât, ke je pusse trùvér kéke mèr ùÂ ma flanme se nûia^t,
10
ÙOu quelque foudre qui pût l'eau de mes yeux dessécher !ý kéke fù^dre ki pu^t l'eô de mez iös déséçér !
MonMonte plus haut que ne dois, tu recherras plus que ne voudras :te pluhôÎt ke ne døs, tu reçè^ras plus ke ne vùdras :
Mais où défaut le pouvoir c'est quelque honneur de vouloirsã ùÂ defôÎt le pùvør s'è^t kék' onör de vùlør ·><· <·
Mètre : Dactylique. Distiques élégiaques.